Monday, March 30, 2015

Le CEP réintégrera d'autres partis dans la course

Le CEP réintégrera d'autres partis dans la course 

Plusieurs partis et regroupements politiques seront réintégrés dans la course électorale a annoncé le conseiller Néhémie Joseph.

Il révèle que certaines formations politiques avaient été écartées de manière abusive par les fonctionnaires du Conseil Electoral Provisoire. Il s'agit d'erreur d'omission, a dit le juriste.

Les partis politiques Mochrenah et Haïtiens Pour Haïti, qui comptaient des représentants au Parlement, n'avaient pas été agréés dans la première liste. Ces partis politiques seront agréés, a assuré M. Joseph révélant que ces partis politiques s'étaient inscrits puis avaient confirmé leur inscription auprès de l'organisme électoral.

Le délai accordé aux dirigeants des partis pour contester la décision du CEP a expiré samedi dernier. Les conseillers électoraux continuent toutefois de plancher sur la nouvelle liste des partis. Aucune date n'a été fixée pour la publication de la liste définitive des partis politiques agréés parce que les conseillers électoraux veulent éviter tout nouveau faux pas.

105 partis politiques avaient été agréés dans la première liste du CEP. Les partis politiques représentés au Parlement durant la 49 eme législature ont été agréés. Dans le même temps les nouvelles formations politiques de l'opposition dont Pitit Dessalines de l'ex sénateur Moïse Jean Charles, Mouvement Patriotique et Populaire de l'Opposition Démocratique (Moppod), Vérité de l'ex Président René Préval, Fanmi Lavalas de l'ex président Aristide et l'Organisation du Peuple en Lutte (OPL) ont été également agréés.

Par ailleurs le CEP a repris le processus de recrutement pour les Bureaux Electoraux Départements (BED) dans plusieurs régions. Cette étape avait été réclamée par plusieurs partis politiques de l'Opposition.

LLM / radio Métropole Haïti

Les partis innovent et annoncent des primaires

Les partis innovent et annoncent des primaires 

L'organisation de primaires au sein des partis politiques sera la grande nouveauté des élections de 2015. Les dirigeants de plusieurs partis politiques annoncent ou réclament l'organisation de primaires notamment pour designer les candidats à la présidence.

L'organisation du Peuple en Lutte (OPL) organisera des primaires, en Haïti et dans la diaspora au cours du mois d'Avril, pour déterminer le candidat à la Présidence. Le coordonnateur général de l'OPL, Sauveur Pierre Etienne, précise que plus de 3 500 membres du parti éliront l'un d'entre les prétendants. M. Etienne, candidat à la présidence, devra entre autres affronter les sénateurs Anick Joseph et Francisco Delacruz ainsi que l'ex sénateur Edgard Leblanc.

Au sein de la plateforme Vérité, des primaires sont également envisagées afin de départager au moins 4 candidats à la présidence. L'ex Premier Ministre Jean Max Bellerive et l'ex ministre Joanas Gué, tous deux proches de l'ex président Préval, devront obtenir l'approbation du directoire et des membres de ce regroupement.

Toutefois au sein du parti Mouvement Patriotique et Populaire Dessalinien (Moppod) le principe des primaires n'est pas acquis. Le directoire pourrait déterminer le candidat le plus apte à bénéficier du vote populaire.

La secrétaire générale du Rassemblement des Démocrates Nationaux Progressistes (RDNP), Mirlande Manigat, la seule à avoir atteint un second tour de scrutin, est en bonne position pour la désignation.

Cependant l'ex sénateur Samuel Madistin, également membre du directoire du Moppod, sollicite l'organisation de primaires au sein de cette structure politique de l'opposition radicale. M. Madistin croit qu'il peut mieux porter les propositions du Moppod auprès de la population.

Le principe des primaires serait également envisagé au sein du Parti Haïtien Tèt Kalé et de ses alliés, avait indiqué un membre du directoire. Cependant le chef de l'état devrait jouer un rôle de premier plan dans la campagne électorale.
Par ailleurs, la coordonatrice générale de la Fusion des Sociaux démocrates, Edmonde Supplice Beauzile, dit être dans l'attente des autres déclarations de candidature. D'éventuelles primaires pour la présidentielle pourraient être réalisées durant les rassemblements marquant le 10 eme anniversaire du parti en mai 2015.

LLM / radio Métropole Haïti

Mirlande Libérus doit répondre aux questions de la justice haïtienne


Mirlande Libérus doit répondre aux questions de la justice haïtienne 

La justice haïtienne demande aux autorités américaine de procéder à l'extradition de L'ex sénatrice Mirlande Liberus, qui fait l'objet d'un mandat d'amener, dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du journaliste Jean Dominique. .

L'ex sénatrice Mirlande Liberus avait nié toute implication dans l'assassinat du directeur de radio Haïti Inter, Jean Léopold Dominique. Résidant à Miami, l'ex sénatrice Lavalas s'est gardée de faire de réagir sur le dossier dans les medias.

Interrogée par une radio de la communauté haïtienne (intercontinental) aux Etats-Unis, Mme Liberus Pavert a révélé avoir engagé des avocats en Haïti et aux Etats-Unis afin de faire la lumière sur les accusations portées a son encontre. Mes avocats me donneront les directives et la procédure à suivre dans ce dossier, et je réagirai d'une façon claire et nette, a joute t-elle.

Mme Liberus Pavert et 8 autres personnes sont accusées dans le rapport du juge instructeur Yvickel Dabresil d'être les auteurs intellectuels du crime perpétré le 3 avril 2000.

D'après l'ex responsables de la Fondation Aristide, ces accusations ont été lancées depuis plusieurs années. A chaque fois je suis étonnée d'entendre pareilles accusations, parce que je sais que je suis impliquée dans un combat pour l'instauration d'une démocratie participative en Haïti, a-t-elle insisté.

L'ex sénatrice remercie ceux qui ont témoigné leur solidarité après la publication du rapport du juge instructeur. Ces supports renforcent ma conviction à poursuivre la lutte pour la justice et la paix en Haïti, dit-elle rappelant que son combat vise à améliorer les conditions de vies des haïtiens.

Dans le même temps elle fustige le comportement de secrétaire général de SOS Journaliste, Guyler C. Delva qui avait communiqué dans les medias le rapport du juge instructeur.

Dans les prochains jours le rapport sera soumis à la Cour d'Appel de Port-au-Prince qui devra engager la procédure en vue de publier un arret-ordonnance dans le cadre de ce dossier.

EJ/Radio Métropole Haïti

Haïti - Agriculture : Achat de plus de 12,000 tonnes de produits locaux




Haïti - Agriculture : Achat de plus de 12,000 tonnes de produits locaux
30/03/2015 08:36:07

Haïti - Agriculture : Achat de plus de 12,000 tonnes de produits locaux
Plus de 12,000 tonnes de produits locaux ont achetés à 7,500 petits producteurs haïtiens pour renforcer la sécurité alimentaire en cas d’urgence.

La France est le premier partenaire du Gouvernement haïtien à affecter la totalité de ses crédits d’aide alimentaire à un programme d'achats de productions locales depuis 2005. L’objectif de ce programme consiste à encourager la production locale, garantir des revenus aux agriculteurs et à structurer les organisations de producteurs haïtiens. L’objectif est également de soutenir les petits producteurs à travers un programme de renforcement de la gouvernance interne de quatre Organisations de producteurs.

Depuis 2005, 14,5 millions d’euros ont été accordés à ce programme d’achats de productions locales en Haïti. Ces crédits ont permis d’acheter auprès de milliers de petits producteurs haïtiens 12,040 tonnes de produits locaux : 11,985 tonnes de céréales (riz et maïs moulu) et 55 tonnes de légumineuses (haricot et pois d’Angole) dont 98% ont été distribués au Programme Alimentaire Mondial (PAM) pour ses différents programmes dont le Programme des Cantines Scolaires.

Environ 2% (0,3 M€) de ces crédits ont été mobilisés pour réaliser des investissements et des formations à la gestion organisationnelle et comptable.

Parallèlement, une expertise du Pôle Agroalimentaire Régional de Martinique (PARM) a largement contribué depuis 2011 à la diversification et l’amélioration de la qualité nutritionnelle des produits locaux non concurrencés par les importations américaines.

Par ailleurs, une concertation autour du thème « achats locaux et sécurité alimentaire » avec les partenaires techniques et financiers agissant dans ce domaine (Coopération brésilienne, BID, UE, AFD, CANADA...) est en cours en vue de parvenir à une action concertée et cohérente des bailleurs internationaux.

HL/ HaïtiLibre 

Haïti - Éducation : Plus de 56,000 étudiants haïtiens dans les écoles et universités dominicaines

Haïti - Éducation : Plus de 56,000 étudiants haïtiens dans les écoles et universités dominicaines
30/03/2015 12:11:46

Haïti - Éducation : Plus de 56,000 étudiants haïtiens dans les écoles et universités dominicaines
Depuis 2010, le nombre d’étudiants étrangers inscrits a considérablement augmenté dans l'enseignement pré-universitaire et universitaire dominicain, publics, privés et semi-privés. Dans le secteur pré-universitaire, parmi les étudiants étrangers, ont compte plus de 44,000 étudiants d’origine haïtienne (65.7%) sur les 67,000 étudiants étrangers inscrits et plus de 12,000 haïtiens dans les universités dominicaines.

Dans le secteur pré-universitaire 37,567 haïtiens poursuivent leurs études dans des établissements d’enseignement publics ; 6,148 dans des établissements privés et 595 dans le secteur semi-officielle (Source 2013 : Département de la planification du Ministère de l'Éducation dominicain). Les autres étudiants étrangers (34.3% provenant de 25 pays), sont originaires : des États-Unis (12,519), de l’Espagne (1,753), de Puerto-Rico (1,468) à ceux-ci s’ajoutent d’autres pays dont le Venezuela, l’Italie, Cuba, le Panama, l’Allemagne, le Danemark, la Russie, la Chine, le Pérou, le Brésil et 560 étudiants proviennent d’autres pays pour un grand total d'étudiants étrangers de 67,423 (secteur pré-universitaire).

Haïti - Politique : Le Conseil des Droits de l'Homme adopte un texte sur Haïti



Haïti - Politique : Le Conseil des Droits de l'Homme adopte un texte sur Haïti 
30/03/2015 07:49:29

Haïti - Politique : Le Conseil des Droits de l'Homme adopte un texte sur Haïti
Vendredi après-midi à Genève, le Conseil des Droits de l'Homme (CDH) a terminé ses travaux et adopté un texte sur Haïti. Par une déclaration du Président, le CDH, a également adoptée sans vote, la demande des autorités haïtiennes de renouveler pour un an le mandat de Gustavo Gallón, l'Expert indépendant sur la situation des droits de l'homme en Haïti, qui s'inscrit dans le cadre de l'assistance technique et du renforcement des capacités. Le Conseil invite l'Expert indépendant à assister le Gouvernement d'Haïti dans la mise en œuvre de ses propres recommandations et de celles émises par les autres procédures spéciales et à présenter son rapport sur la situation des droits de l'homme en Haïti à la session de mars 2016 du Conseil des droits de l'homme.

Le Conseil prend note des derniers développements juridiques et politiques en Haïti marqués notamment par des progrès en matière de droits civils et politiques, économiques, sociaux et culturels. Il salue l'installation, le 23 janvier 2015, d'un nouveau Conseil électoral provisoire, de même que la publication du décret électoral et du calendrier des élections par le Conseil électoral provisoire. 

Le Conseil encourage le Gouvernement d'Haïti à poursuivre le renforcement de l'État de droit, notamment au travers de la lutte contre l'impunité, la corruption, la criminalité et ses causes et à continuer de renforcer les capacités de la police nationale et du système judiciaire, afin de garantir le fonctionnement des institutions et des services publics et la jouissance de tous les droits de l'homme. 

Le Conseil salue en particulier le lancement, en mars 2015, de l'opération « Coup de poing »http://www.haitilibre.com/article-13297-haiti-justice-operation-coup-de-poing.html , qui vise à apporter une réponse urgente et structurée au phénomène de la détention préventive prolongée.

Le Conseil encourage la Communauté Internationale dans son ensemble, en particulier les bailleurs de fonds internationaux, les États d'Amérique latine et des Caraïbes, les pays du groupe des amis d'Haïti et les institutions spécialisées des Nations Unies et notamment le Haut-Commissariat aux droits de l'homme, à renforcer leur coopération et leur coordination avec les autorités haïtiennes.

Suite à l'adoption de la déclaration du Président sur la situation des droits de l'homme en Haïti, Haïti s'est félicité du consensus sur ce texte et a assuré que son gouvernement avait pris des engagements en faveur de la tenue prochaine d'élections, saines et démocratiques. Il a salué l'implication des partenaires bilatéraux et internationaux.

Thursday, March 26, 2015

Le MOPOD devient « Mouvement Patriotique et Populaire Dessalinien »

Le MOPOD devient « Mouvement Patriotique et Populaire Dessalinien »

Le Mouvement Patriotique de l'Opposition Démocratique change de nom. Il devient désormais « Mouvement Patriotique Populaire Dessalinien », en gardant le même acronyme (MOPOD). C'est l'agronome Jean André Victor qui en a fait l'annonce.

Selon le coordonnateur general du MOPOD,ce changement de nom s'explique par le fait que l'ancienne appellation étaitplutôt un nom de lutte et de mobilisation et donc éphémère.

Un rassemblement aura lieu ce vendredi à l'hôtel Le Plaza au Champ-de-Mars afin de présenter à la presse et au public les différentes organisations qui restent attachées à cette structure politique.

M. Victor confirme par ailleurs la participation de son organisation politique aux prochaines élections et indique que les primaires pour désigner les candidats du MOPOD se feront bientôt.

Selon Turnep Delpé, une autre voix autorisée de ce parti, des discussions sont en cours avec la Plateforme PITIT Dessalines pour une alliance éventuelle.

M. Delpé en a profité pour dénoncer les tentatives des forces de l'ordre d'investir les locaux de ce parti au motif qu'elles étaient à la poursuite des individus contre lesquels des mandats d'amener ont été émis et souhaite que cet acte ne s'inscrit pas dans une démarche visant à intimider les membres de la plateforme PITIT Dessalines.

MJ/Radio Métropole Haïti

Martelly, Préval et Aristide seront impliqués dans les élections

Martelly, Préval et Aristide seront impliqués dans les élections

Pour la première fois le chef de l'état et deux de ses prédécesseurs dirigeront des formations politiques à l' occasion des compétitions électorales.

L'ex président René Préval dirigera la plateforme Vérité qui été agréé hier par l'organisme électoral. M. Préval, discret depuis la fin de son second mandat, effectuera son grand retour sur la scène politique.

Dans le même temps l'ex président Jean Bertrand Aristide est le leader traditionnel de Fanmi Lavalas, qui participera également pour la première fois depuis 2001 aux élections.

Fidele à une tradition instaurée depuis 1991 par M. Aristide, le président Michel Martelly dirigera une plateforme présidentielle lors des prochaines élections législatives, municipales et de la présidentielle. Le parti présidentiel PHTK aurait au cours des derniers mois noué des alliances avec d'autres formations politiques.

Ni le chef de l'état, Michel Martelly, ni ses prédécesseurs René Préval et Jean Bertrand Aristide ne pourront briguer le fauteuil présidentiel en octobre 2015. Si Maryse Narcisse a été désignée candidate à la présidence de Fanmi Lavalas, les plateformes Vérité et PHTK n'ont pas encore désignés leurs candidats.

Les ex présidents apporteront leurs expériences et leur popularité aux candidats de ces trois formations politiques propulsées automatiquement au devant de la scène.

Tandis que les ex présidents Préval et Aristide sont restés silencieux, le président Martelly a en maintes reprises invité les haïtiens à voter en faveur des ex parlementaires qui avaient collaboré avec son administration. De nombreux ex députés du Bloc Parlementaires pour la Stabilité et de le Progrès (PSP) de la 49 eme législature avaient rejoint la plateforme du Parti Haïtien Tèt Kalé.

LLM / radio Métropole Haïti

Haïti-Elections : Le Cep accorde 24 heures de sursis aux 87 partis non agréés, sur les 192 inscrits

Haïti-Elections : Le Cep accorde 24 heures de sursis aux 87 partis non agréés, sur les 192 inscrits

Liste définitive de partis et regroupements agrées, attendue le samedi 28 mars 2015
jeudi 26 mars 2015
 

P-au-P, 26 mars 2015 [AlterPresse] --- Les 87 partis non agréés, sur les 192 inscrits, ont 24 heures, soit jusqu’au vendredi 27 mars 2015 (à 4:00 pm locales = 20:00 gmt), pour rendre leurs dossiers conformes, informe le Conseil électoral provisoire (Cep).
Le Cep a finalement publié, dans la soirée du mercredi 25 mars 2015 (communiqué No. 8 de l’actuelle structure de l’organisme électoral), une première liste des partis retenus (avant une liste définitive dans l’après-midi du samedi 28 mars 2015) pour les joutes législatives partielles, municipales, locales et présidentielle, attendues cette année.
105 partis et regroupements politiques sont validés.
Un délai supplémentaire d’un jour est accordé aux partis et regroupements, dont la participation est refusée et qui souhaiteraient faire une réclamation.
Les partis de l’opposition radicale, à l’image du Mouvement patriotique populaire dessalinien (auparavant Mouvement patriotique de l’opposition démocratique / Mopod) et Pitit Desalin, sont agréés.
En revanche, les dossiers de certains habitués de la scène politique, comme le Mouvement chrétien pour une nouvelle Haïti (Mocrhena) - vieux d’un peu plus de 16 ans - et Aksyon pou rekonstwi yon Ayiti òganize (Action pour reconstruire une Haïti organisée, Akao) n’ont pas été acceptés.
Ce jeudi 26 mars 2015, plusieurs dirigeants de partis et regroupements politiques, non agréés, défilent au Cep pour produire leurs contestations vis-à-vis de la décision du 25 mars 2015, adoptée par l’organisme électoral.
Certains responsables de partis dénoncent la lenteur administrative, au sein du Cep, pour communiquer les motifs de rejet et accueillir les contestations.
A partir du lundi 6 avril 2015, après la semaine sainte, ce sera au tour des candidates et candidats aux législatives de s’inscrire au Cep. [kft rc apr 26/03/2015 11:25]

Haïti - Politique : Cuba plaide pour Haïti à Genève



Haïti - Politique : Cuba plaide pour Haïti à Genève
26/03/2015 11:02:23


Haïti - Politique : Cuba plaide pour Haïti à Genève
Dans le cadre de la 28ème session du Conseil des droits de l'homme qui se tient a Genève jusqu’au 27 mars 2015, le délégué cubain, Claudia Pérez, dans une note publiée, plus tôt cette semaine, par la Mission permanente des Grandes Antilles à Genève a déclaré que « Cuba considère que la reconstruction et le développement d'Haïti demeure une dette envers ce peuple qui, après des siècles de colonialisme, a fait la première révolution sociale dans les Amériques [...] »

Soulignant « Il est vital de répondre aux besoins et priorités du peuple haïtien et de son gouvernement [...] Nous réitérons notre appel aux pays développés d'honorer leurs engagements et d’apporter soutien et assistance que cette nation a besoin en urgence. Nous invitons les créanciers à annuler leurs dettes. »

Selon le délégué de Cuba « nous avons tous l'obligation morale de fournir des ressources financières supplémentaires et une plus grande coopération à Haïti, non seulement pour la reconstruction, mais surtout pour son développement [...] Cuba réaffirme son engagement envers la population de ce pays, par conséquent, il maintient sa collaboration pour améliorer la jouissance des droits économiques, sociaux et culturels importants. »

Claudia Pérez rappelle qu’il existe une coopération Cuba-Haïti dans le domaine de l'éducation et de la santé et dans des programmes de développement, en collaboration avec d'autres pays « dans le plein respect de la souveraineté et de l'autodétermination de ce pays frère » insistant que « de cette façon, vous pouvez vraiment responsabiliser les gens et améliorer toujours un peu plus la jouissance de leurs droits [...] »

SL/ HaïtiLibre

Haïti - Élections : Liste complète des Partis politiques agréés et non agréés



Haïti - Élections : Liste complète des Partis politiques agréés et non agréés
26/03/2015 14:03:06


Haïti - Élections : Liste complète des Partis politiques agréés et non agréés
Conformément à l'article 102 du Décret électoral du 2 mars 2015 et dans le cadre de l'exécution du Calendrier électoral, le Conseil Électoral Provisoire (CEP), publie la liste des partis et groupements politiques régulièrement enregistrés, habilités à participer aux prochaines compétitions électorales.

Le Conseil Électoral, précise dans une note signée par Pierre-Louis Opont, Président, Pierre Manigat Jr., Vice-président ; Vijonet Demero, Secrétaire Général ; Richardo Augustin, Trésorier et des membres Yolette Mengual, Marie Carmel Paul Austin, Néhémy Joseph, Lourdes Edith Joseph et Jaccéus Joseph, que 105 partis et groupements politiques ont un dossier en conformité avec les dispositions du Décret électoral en ses articles 100 et suivants. Télécharger le décret électoral : http://www.haitilibre.com/docs/decretelectoral2015.pdf

Le CEP indique également, que les partis et groupements politiques non agréés ont jusqu’au vendredi 27 mars 2015 à 4h00 p.m. pour produire toute réclamation éventuelle à la Direction des Affaires Juridiques, située au #133, à la route de Frères.

Cette liste de partis et groupements politiques agréés et non agréés a été acheminée aux partis politiques, à la presse et est disponible au siège du CEP à Pétion-ville et à la Direction des Opérations Electorales sur la route de Frères.

Notez que l’article 103 du décret électoral, stipule « Pour être enregistrés, les partis et les groupements politiques doivent déposer au Conseil électoral provisoire, contre reçu, une copie authentifiée des pièces suivantes :
a) L’acte constitutif notarié du parti ou groupement politique, ses statuts et ses objectifs ;
b) L’acte de reconnaissance du parti politique ;
c) L’acte de reconnaissance de chacun des partis formant le groupement de partis politiques ;
d) La liste des partis et des organisations signataires de l’accord du groupement politique ; »


Un dossier incomplet peut provoquer le non-agrément d’un parti.

Notez que les membres d’une plateforme politique ne pourront pas présenter de candidats sous leur propre bannière, mais seulement sous la bannière de la plateforme a laquelle ils appartiennent ainsi par exemple, le « Rassemblement des Démocrates Nationaux Progressistes » (RDNP) de Mirlande Manigat, membre de la plateforme de l’opposition « Mouvement Patriotique de l’Opposition Démocratique » (MOPOD) [Note: renommé Mouvement patriotique populaire Dessalinien], devra présenter son candidat sous la bannière du MOPOD.

Télécharger la liste complète des Partis politiques agréés et non agréés (PDF) : http://www.haitilibre.com/docs/liste-cep-26-03-2015.pdf

HL/ S/ HaïtiLibre

METRONEWS 25 MARS 2015.metropolehaiti.com

Wednesday, March 25, 2015

Haïti-North Miami : Lucie Tondreau écope de 65 mois de prison

L’Américaine d’origine haïtienne, Lucie Tondreau, ancienne maire de North Miami, a été condamnée, mardi, à 65 mois de prison pour son implication pour fraude hypothécaire, évalué à 11 millions de dollars américain, rapporte le quotidien de la Floride, Miami Herald.

En larmes, Mme Tondreau, 55 ans, s’est excusé pour ce qu’elle a fait, surtout les personnes qu’elle a blessé, en particulier la communauté qui l’a vu comme un symbole d’espoir et qui l’avait élu comme maire de North Miami.
Le procès avait duré deux semaines, en décembre dernier, et Lucie Tondreau faisait face à une peine potentielle allant jusqu’à 30 ans. Au final, elle ne passera que 5 ans et 5 mois derrière les barreaux. Après sa peine, elle passera trois ans de liberté surveillée. Elle aura à payer aussi une restitution qui sera finalisée à la fin de ce mois de mai.
Le gouvernement a trouvé qu'elle et ses co-accusés, dont Oreste et deux autres hommes qui sont fugitifs, ont trompé les banques en leur prêtant $ 11 000 000 entre 2005 et 2008 dans le secteur immobilier.

Haïti - Élections : Plus de 50 candidats à la présidence !



Haïti - Élections : Plus de 50 candidats à la présidence !
25/03/2015 12:19:54

Haïti - Élections : Plus de 50 candidats à la présidence !
Si l’on en croit Pierre-Louis Opont, il pourrait y avoir entre 60 et 70 candidats à l’élection présidentiel... En attendant, la liste des Partis et formations politiques qualifiées pour les élections législatives, devrait être connue aujourd'hui et selon certaines informations non confirmées, être réduite de 25%...

Parmi les candidats déclarés à la présidence notons :
Maryse Narcisse, candidate désignée le 14 juillet 2014 par le directoire de Fanmi Lavalas, à l’issue d’élections primaires
Jude Celestin ancien candidat défait à la dernière élection, (source Jude Célestin)
L’ancien Sénateur Edgard Leblanc Fils, le sénateur en fonction Francisco De La Cruz et le juriste Alexandre Jean-Marie Getheens, 3 membres de l’Organisation du Peuple en Lutte (OPL) ont déposé leur dossier de candidature d’investiture à l’OPL en attendant le choix du Parti.

Quant aux rumeurs, plus ou moins crédibles, elles sont déjà nombreuses :
Ont rapporte que Moïse Jean-Charles du Parti « Piti Desalin » aurait des visées sur le Palais...
Il circule que Mirlande Manigat, compterait se représenter...
Jean-Max Bellerive n’aurait pas caché auprès de ses proches ses ambitions présidentielles...
L’ancien Ministre de l'Agriculture Johanas Guay, réfléchirait à la fonction suprême de l’État...
Le nom d’Elisabeth Préval, aurait été également évoqué comme candidate potentielle...

Rappelons que le dépôt des dossiers de candidatures à la présidence, selon le calendrier électoral, débuteront le 11 mai pour se terminer le 20 mai 2015. Suivi de la période de contestation 21 au 23 juin 2015 et la publication de la liste finale des candidats qualifiés le 30 juin 2015.

En attendant le nombre de prétendants à la Présidence va se multiplier dans les prochains mois, dans la perspective des élections à la magistrature suprême du Pays qui se dérouleront les 25 octobre et 27 décembre 2015 (en cas de 2eme tour).

HL/ HaïtiLibre 

Inauguration de l’Hôpital Ludwig Pavilion pour malades de la tuberculose...

La Mairie de Carrefour lance une opération de réhabilitation du littoral...

Dr Max Rudolph Saint-Albin, Directeur Général de l'OFATMA, dresse un bil...

Tuesday, March 24, 2015

Les acteurs politiques sont inaptes de former des alliances


Les acteurs politiques sont inaptes de former des alliances 

Les élections législatives de 2015 devraient battre tous les records en ce qui concerne la participation des acteurs politiques. 192 partis, plateformes et regroupements politiques se sont inscrits auprès de l'organisme électoral en vue participer aux prochaines joutes.

L'émiettement des forces politiques à droite comme à gauche s'est accentué en dépit des dispositions de la loi sur les partis politiques qui encouragent le regroupement des formations politiques en fonction des tendances et idéologies. Cet émiettement est très marqué au sein de l'opposition radicale. Les anciens sénateurs du G 6 se présenteront chacun sous la bannière d'un parti.

En outre le Mopod, Pitit Dessalines et Eskanp, qui avaient organisé conjointement des manifestations contre le gouvernement, présenteront des listes séparées lors du prochain scrutin.

Le Conseil Electoral Provisoire (CEP) devrait communiquer au cours de cette semaine la liste de formations politiques agréées.

La grande majorité des partis ont fait part de leur décision de designer un candidat à la présidence. La possibilité de designer un candidat à la présidence serait l'une des principales motivations des partis politiques.

Des désaccords au sein du Mouvement patriotique de l'Opposition démocratique (Mopod) sur la désignation du candidat à la présidence ont provoqué de nouvelles dissidences. Les avocats Newton Saint Juste et André Michel ont annoncé la création d'une nouvelle plateforme politique qui désignera également un candidat à la présidence.

Les acteurs politiques redoutent qu'une centaine de candidat soient en lice lors de la présidentielle d'octobre 2015.

Le record pourrait également être battu en ce qui a trait aux législatives. Les candidats devront à partir du 6 avril 2015 faire le dépôt de leurs dossiers aux différents Bureaux Electoraux Départementaux (BED). Entre temps les conseillers électoraux devront installer les BED et les BEC afin de rendre possible la réalisation de cette étape dans le calendrier électoral.

LLM / radio Métropole Haïti

Mirlande Manigat appelle à la nationalisation des élections

Mirlande Manigat appelle à la nationalisation des élections 

La secrétaire générale du RDNP, Mirlande H. Manigat a confirmé ce mardi avoir débattu avec le secrétaire general de l'OEA, José Miguel Insulza, qui a été en visite « d'adieu en Haïti ».

Outre Madame Manigat, d'autres dirigeants politiques, dont Sauveur P. Etienne de l'OPL et Jean Henry Céant de Renmen AYITI, ont pris part à cette rencontre.

Au cours de la réunion, les dirigeants des partis politiques ont exprimé leurs inquiétudes par rapport à la crédibilité de la machine électorale, notamment les membres des BEC et des BED qu'ils contestent la légitimité.

Invitée à une émission de libre tribune ce mardi, l'épouse de feu du professeur Manigat dénonce l'ingérence de la communauté internationale, dont l'OEA dans les résultats des élections de 2006 et 2011.

Toutefois, Mme Manigat reconnait que le budget de la République et notamment des élections sont en grande partie financés par la communauté internationale – ce qui dans un certain sens légitime leur influence.

Pour éviter que les étrangers continuent d'influencer le processus électoral en Haïti, la candidate déclarée pour les prochaines élections appelle à la nationalisation des élections.

« Les élections sont un acte de souveraineté », déclare-t-elle, martelant qu'il est temps de rapatrier cette souveraineté. Les haïtiens doivent comprendre la nécessité de s'organiser, de se mettre ensemble pour récupérer la souveraineté du pays, préconise-t-elle.

Par ailleurs, Mirlande Manigat en a profité pour justifier l'entrée du MOPOD dans la course électorale. Pour elle, il n'y a pas de contradiction entre la position de MOPOD d'aujourd'hui et celle d'hier.

« La position de MOPOD a toujours été les élections, mais sans Martelly, dit-elle.Comme les mobilisations n'aboutissent pas à l'objectif escompté, le MOPOD change de stratégie », ajoutant qu'il s'agit aujourd'hui d'une « mobilisation électorale et politique »

MJ/Radio Métropole Haïti

Andris Riché souhaite que l'OEA cesse d'influencer les résultats des élections en Haïti

Andris Riché souhaite que l'OEA cesse d'influencer les résultats des élections en Haïti 

Le secrétaire général sortant de l'Organisation des Etats Américains José Miguel Insulza, s'est entretenu ce lundi avec entre autres, le président Michel Martelly, le premier ministre Evans Paul, le sénat et les dirigeants partis politiques, autour d processus électoral.

Lors de sa rencontre avec des sénateurs, M. Insulza aurait, selon le président du Sénat Andris Riché, jugé scandaleux que 192 partis politiques se soient fait inscrire en vue de prendre part aux prochaines élections.

Le sénateur Andris Riché dit avoir recadré M. Insulza en lui faisant comprendre que loin d'être un scandale, l'inscription des partis politiques est une bonne chose pour la santé de la démocratie, ajoutant que ce n'est pas ce qui va tuer la République. Au contraire, « c'est la preuve que nous sommes en train de construire, de développer notre capacité d'association dans le pays.. », a dit le sénateur de l'OPL.

Le parlementaire a également indiqué avoir profité de la visite de M. Insulza au Sénat pour dénoncer l'ingérence de l'organisation hémisphérique dans les résultats des élections en Haïtinotamment en 2006 et en 20102. « Je souhaite qu'ils vont stopper cette ingérence permanente dans nos affaires », a-t-il dit indiquant toutefois que le secrétaire general de l'OEA a promis d'envoyer une mission d'observation électorale en Haïti.

M.Insulza, dont le mandat arrive à terme à la fin du mois de mai, a réaffirmé le soutien continu de l'OEA à la démocratie en Haïti,selon une note de la communication gouvernementale.Le Chef de l'OEA se réjouit du fait que le Gouvernement a favorisé la voie du dialogue dans le dossier haïtiano-dominicain.

MJ/Radio Métropole Haïti

La France préoccupée par l'Haïti de l'après MINUSTAH

La France préoccupée par l'Haïti de l'après MINUSTAH 

« Nous nous devons réfléchir, dès aujourd'hui, à Haïti de l'après MINUSTAH », a déclaré Paul Delattre, ambassadeur et représentant permanent de la République française au Conseil de sécurité des Nations-Unies, la semaine dernière, lors de l'examen de la situation d'Haïti par le Conseil de Sécurité.

Apres avoir remercié la représentante spéciale du Secrétaire général en Haïti de sa présentation, l'ambassadeur Régis, représentant permanent d'Haïti, au Nations-Unies, le diplomate français dit avoir étudié avec attention le rapport du Secrétaire général sur l'activité de la MINUSTAH, six mois après le renouvellement de son mandat par la résolution 2180.

Dans son rapport de 23 pages, Ban Ki Moon avait dressé tableau sombre de la réalité en Haïti. Il avait fait remarquer qu'à la veille des élections le pays fait face à une situation incertaine qui pourrait déboucher sur de nouveaux troubles politiques. Le secrétaire general des Nations Unies avait présenté un pays constamment instable.

Le gouvernement haïtien – via son ambassadeur, Denis Régis - demande au Conseil de sécurité, de sursoir sur le processus de retrait des contingents militaires de la MINUSTAH.

Le diplomate français a déclaréque le Conseil prend bonne note de la demande adressée par le président Martelly à ce Conseil. « Il est évident que la situation en Haïti comprend des facteurs de risques. Nous continuerons de suivre avec la plus grand attention l'évolution de la situation d'Haïti. C'est notre responsabilité en tant que membre de ce Conseil et ami d'Haïti », a-t-il réagi.

Toutefois, l'ambassadeur français a fait savoir qu'il importe à présent de mettre en œuvre ce que le Conseil avait décidé en octobre, c'est-à-dire le retrait des troupes de la MINUSTAH.

Par ailleurs, le conseil ne fait pas l'impasse sur les incertitudes sécuritaires. « Il est erroné de parler de diminution de la MINUSTAH », soutient-il, ajoutant qu'il « s'agit, d'une reconfiguration de sa posture, en fonction de l'évolution de la situation. Dans la préparation des élections à venir, les forces de police seront amenées à assumer un rôle prépondérant et pourront s'appuyer, en dernier ressort, sur une composante militaire à la mobilité accrue ».

Si l'ambassadeur salue la mise en branle du processus électoral avec la publication ducalendrier électoral, la convocation aux urnes et l'inscription des partis politique, M. Delattre a affirmé que beaucoup reste encore à faire, notamment en matière de droits de l'Homme.

Au diplomate de rappeler que la MINUSTAH a été déployée en 2004 dans un contexte de crise aiguë. Onze ans plus tard, la situation a, fort heureusement, considérablement changé, et la MINUSTAH doit s'adapter à cette évolution favorable, insiste-il.

Le diplomate de conclure que « nous devons en effet aller plus loin. Dans un contexte de recherche d'une plus grande efficacité du maintien de la paix, nous nous devons de réfléchir, dès aujourd'hui, à Haïti de l'après MINUSTAH. À ce titre, nous sommes désireux d'entamer avec nos partenaires une réflexion sur le rôle que la Commission de consolidation de la paix pourrait jouer pour préparer la présence future des Nations unies en Haïti ». 

METRONEWS 23 MARS 2015

Monday, March 23, 2015

I love you Anne (Full Haitian movie)

Uniforme Unique: Propos du Ministre de l'Éducation Nationale, Nesmy Manigat

Fin des inscriptions pour les plateformes et partis politiques

Le gouvernement appelle au maintien des troupes de la Minustah

Le gouvernement appelle au maintien des troupes de la Minustah 

Le gouvernement haïtien veut interrompre le retrait des troupes de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en Haïti (Minustah).

L'ambassadeur d'Haïti à l'ONU, Denis Régis, dans son intervention lors de l'examen de la situation d'Haïti par le Conseil de Sécurité, la semaine écoulée, a fait état des préoccupations du gouvernement dans le domaine sécuritaire. Face à une recrudescence de l'insécurité le diplomate haïtien demande au Conseil de sécurité, d'observer une pause dans le processus de retrait en cours des contingents militaires de la Minustah.

Estimant que la présence de la Minustah a été incontestablement un facteur important de stabilité et de sécurité en Haïti, l'ambassadeur Régis souhaite que dans le contexte préélectoral actuel, les effectifs de la Minustah soient maintenus à un niveau tel, qu'ils puissent rehausser sensiblement le climat de sécurité, qui est un facteur essentiel de la confiance des électeurs dans le processus et l'un des éléments déterminants de la réussite des élections. "Le Gouvernement d'Haïti croit utile d'en appeler au Conseil de sécurité, afin que celui-ci fasse preuve de toute la souplesse nécessaire dans la mise en œuvre de la reconfiguration de la mission de l'ONU. En particulier, à la lumière de l'évolution de la situation et des besoins qui se manifestent actuellement sur le plan de la sécurité, le Gouvernement considère que le calendrier de retrait doit faire l'objet d'une réévaluation, afin de tenir compte, à chaque étape, de l'évolution de la situation réelle sur le terrain et, en particulier, des menaces et des risques qui pourraient mettre en péril la stabilité et la sécurité internes."

" Le Gouvernement haïtien attache la plus haute importance au maintien d'une présence suffisante des composantes militaire et policière de la Minustah qui, en appuyant de façon proactive l'action de la Police nationale d'Haïti pendant tout le cycle électoral, contribuerait sensiblement à raffermir la confiance dans un climat de sécurité", a-t-il laissé entendre.

Par ailleurs le gouvernement haïtien souhaite un renforcement de la composante policière de la Minustah, de même que sa présence sur le terrain, dans le cadre d'un soutien accru à la Police nationale d'Haïti et d'une participation plus soutenue aux tâches quotidiennes liées à la sécurité et à la protection des citoyens.

LLM / radio Métropole Haïti

Martelly veut boucler les grands chantiers


Martelly veut boucler les grands chantiers 

Le chef de l'état haïtien, Michel Martelly, a réitéré la détermination de son administration à concrétiser les grands projets d'infrastructures en cours. M. Martelly s'était rendu le week end écoulé aux Cayes et a Ile à Vache pour évaluer les projets d'infrastructures touristiques dans la région.

Le gouvernement entend poursuivre les efforts pour le développement de l'Ile-à-vache, a lancé le chef de l'état à l'attention des résidents de la zone. " Le développement de l'île-à-Vache implique nécessairement celui de tous ses habitants ", a dit M. Martelly voulant répondre aux critiques de certains secteurs sur le projet de destination touristique.

Dans son intervention M. Martelly a exhorté les citoyens à participer dans le calme aux prochaines élections afin dit-il de " choisir leurs dignes représentants au sein de la fonction publique".

Il a visité les travaux de construction du nouvel aéroport de l'île-à-Vache non loin de la localité de Balérase ainsi que les chantiers du Quai et du Tribunal de Paix dans la localité de Terre-Plein.

Le président Martelly a, durant sa visite, distribué des voiles, des moteurs et des kits de réchauds ainsi que des pépinières aux fédérations de pécheurs de la localité de Madame Bernard et aux planteurs de la Campagne Agricole de Printemps établis sur l'île.

A Kay Kòk le président Martelly a supervisé des projets agricoles et un atelier de formation initié par l'Institut National pour la Formation Professionnelle (INFP).

Aux Cayes il a évalué l'état d'avancement des travaux de l'aéroport international. Il a également visité l'Institut de Formation en Hôtelerie et Tourisme (IFORHT). " Cette promotion confirme la volonté du gouvernement de renforcer le secteur touristique", a assuré le chef de l'état.

M. Martelly a également effectué un déplacement a Morisseau, St Louis du Sud, le vendredi 20 mars pour évaluer l'état d'avancement des travaux de réaménagement de la Plage.

LLM / radio Métropole Haïti

La police a fait le ménage en 2014


La police a fait le ménage en 2014 

Plus de 800 policiers ont été renvoyés de la PNH en 2014, dont 717 pour abandon de poste et 97 pour des motifs divers.

Le rapport a été publié la semaine dernière par l'Inspection Générale de la Police Nationale d'Haïti (IGPNH).

Parmi les 97 renvois pour des motifs divers, 23 sont révoqués pour détournement de fonds, 8 pour trafic de stupéfiant, 7 pour vols, 9 pour enlèvements, 10 pour homicides, 6 pour corruption et 4 pour meurtre.

Par ailleurs, « 949 plaintes contre des policiers ont été déposées par des citoyens pour différents types de violation dont abus de confiance, abus d'autorité, agression physique, coups, dettes, violences, refus de prendre soin, menaces et confiscations de biens ».

Enfin le rapport souligne qu'entre 1995 et 2014, 806 policiers ont perdu la vie, 63 ont été assassinés, 252 sont morts de maladies, 233 ont été tués par balle, 43 victimes d'accidents de la circulation et 70, victimes du tremblement de terre de janvier 1010.

EJ/Radio Métropole Haïti

Tous les acteurs politiques intègrent le processus électoral


Tous les acteurs politiques intègrent le processus électoral 

La quasi-totalité des formations politiques ont rempli les formalités administratives en vue de participer aux prochaines joutes.

Le vice président du Conseil Electoral Provisoire (CEP), Pierre Manigat Junior, a indiqué que 192 partis politiques, plateformes et regroupements se sont inscrits dans le délai imparti par les autorités électorales. Le processus d'inscription a été bouclé vendredi.

Il ne s'agit pas de 192 partis politiques, a fait valoir M. Manigat révélant que certains partis peuvent s'inscrire à la fois de manière isolé et dans le cadre d'un regroupement. Les partis membres d'un regroupement doivent s'inscrire, également a-t-il dit soulignant toutefois que le parti devra choisir l'une des deux options avant le scrutin.

Les partis de l'opposition radicale ont rejoint le processus électoral. Le Mouvement Patriotique de l'Opposition Démocratique (Mopod) et Pitit Dessalines de l'ex sénateur Moise Jean Charles sont également en piste.

Au sein du Mopod de nouvelles dissidences ont été enregistrées. Les avocats Newton Saint Juste et André Michel ont formé leur propre plateforme politique " Justice". M. Michel révèle que le parti Ranfò et une cinquantaine d'organisations politiques sont membres de cette plateforme.

Les dissensions sont intervenues notamment sur le choix d'un candidat à la présidence pour le Mopod.

D'autres formations politiques de l'opposition radicale dont Fanmi Lavalas, participeront aux prochaines législatives, à la présidentielle et aux municipales.

Les formations politiques membres de la coalition gouvernementale dont PHTK du président Martelly, KID du Premier Ministre Evans Paul ont également rempli les formalités administratives auprès de l'organisme électoral.

Une liste des partis, plateformes et regroupements agréés sera prochainement publiée par le CEP.

LLM / radio Métropole Haïti

Guire Poulard parle d'un véritable complot contre l'Eglise Catholique

POLITIQUEretour

Guire Poulard parle d'un véritable complot contre l'Eglise Catholique 

L'Archevêque Guire Poulard dénonce les violences dont sont l'objet, ses derniers jours, des religieux.

Dans une note en date du 20 avril dernier, Mgr Poulard parle d'un véritable complot ourdi contre l'Eglise Catholique en Haïti égratignant au passage, nous citons, certains politiciens dépourvus de tout scrupule et portés par le discours aberrant de faux prophètes qui s'attaquent à des gens sans défense.

La persécution sciemment orchestrée contre l'Eglise atteint le seuil de l'intolérable, écrit Mgr Guire Poulard.

L'homme d'Eglise refuse de croire que le nombre d'actes crapuleux dont sont victimes les religieux, les religieuses et les prêtres à travers tout le pays relèvent d e simples actes isolés.

‘'C'est le produit des laboratoires mortifères qui les planifient, les organisent et les orientent vers l'Église'', insiste-t-il invitant l'État à prendre ses responsabilités de protéger tous les Haïtiens, ceux qui vivent dans le pays aussi bien ceux qui sont en terre étrangère.

Par ailleurs, Mgr Poulard regrette que la Police ne se soit pas montrée soucieuse de son travail, sinon, indique-t-il, les bandits n'auraient jamais continué leur sordide besogne.

Face à ces graves circonstances, l'Eglise Catholique se demande s'il ne serait pas opportun que les religieuses et religieux ferment leurs portes là où ils ne peuvent s'assurer que leur sécurité est prise en compte par l'État.

En conclusion, l'Archevêque Métropolitain appelle L'État à diligenter une enquête pour arriver à identifier les criminels ainsi que leurs complices et les déférer par devant les tribunaux afin qu'ils puissent répondre de leur forfait.

EJ/Radio Métropole Haïti

200 mille haïtiens risquent la déportation en République Dominicaine


200 mille haïtiens risquent la déportation en République Dominicaine 

L'ambassadeur dominicain en Haïti confirme que tous les citoyens haïtiens présents illégalement en République Dominicaine au terme du processus de régularisation des étrangers seront susceptibles d'être expulsé.

Ruben Silié Valdez explique qu'actuellement 200 mille haïtiens sont dans cette situation dans son pays.

Le diplomate évoque le risque de reconduites à la frontière forcées.

D'un autre coté Ruben Sile Valdez juge qu'Haïti et la République Dominicaine sont en train de sortir de l'impasse diplomatique.

L'ambassadeur dominicaine en poste à Port au Prince explique que les autorités dominicaines sont satisfaites des mesures de sécurité prisent par les autorités haïtiennes pour protéger les représentations diplomatiques de son pays.

EJ/Radio Métropole Haïti

Le canada étudie le dossier des Haïtiens en situation irrégulière

Le canada étudie le dossier des Haïtiens en situation irrégulière 

Le gouvernement fédéral du Canada affirme dans un communiqué, avoir « mis en place des mesures généreuses pour permettre aux personnes affectées de faire du Canada leur pays de résidence permanente » et promet de continuer à le faire.

La ministre de l'Immigration du Québec, Kathleen Weil, rappelle qu'une entente spéciale a été négociée avec Ottawa, qui permet à son ministère de faire l'étude des dossiers des immigrants en situation irrégulière, dont les 3200 Haïtiens. Elle soutient que le fédéral s'est engagé à respecter les recommandations du Québec.

« Nous allons traiter les dossiers avec beaucoup d'ouverture, beaucoup d'humanité » - Kathleen Weil, ministre de l'Immigration.

Toutefois, la ministre Weil suggère fortement aux immigrants concernés par cette situation de déposer leurs demandes de résidence permanente avant le 31 mai. « C'est important » dit-elle, puisqu'une mesure collective reste très peu envisageable.

Parallèlement, le comité d'action des personnes sans statut, lui, ne compte pas arrêter ses moyens de pression. Chaque vendredi, le groupe plante leur piquet devant le complexe Guy-Favreau, à Ottawa. Les organisateurs prévoient aussi faire signer des pétitions et demander des rencontres officielles avec les ministres, lit-on dans la presse canadienne.

Les Haïtiens et les Zimbabwéens qui risquent d'être déportés ont été accueillis au milieu des années 2000 pour des raisons humanitaires.

Dans un communiqué, le ministère de l'Immigration du Canada soutenait que « les conditions en Haïti et au Zimbabwe se sont améliorées et que le gouvernement du Canada considère qu'il n'y a plus de risque généralisé pour l'ensemble de la population ».

Le gouvernement fédéral exige donc que ces 3500 ressortissants 3200 haïtiens passent à travers tout le processus d'immigration. Sinon, ils risquent d'être déportés.

Serge Bouchereau, du Comité d'action des personnes sans statut, demande au gouvernement d'adopter une mesure collective, qui permettrait à tous ces immigrants d'avoir accès en même temps à un statut de résident permanent. Or, la politique d'immigration du Canada prévoit que les demandes de statut soient traitées au cas par cas.

« Si on commence à sélectionner les gens qui peuvent rester et ceux qui ne peuvent pas rester au cas par cas, on sait ce qui va arriver. Beaucoup de nos compatriotes seront obligés de prendre le chemin de l'aéroport. C'est cela qu'on veut éviter », soutient Serge Bouchereau.

MJ/Radio Métropole Haïti

Sunday, March 22, 2015

Prezidan Michel J. Martelly Vizite travay konstriksyon ayewopò entènasyo...

Mme Mirlande Manigat lors de l'inscription du MOPOD au CEP

Inscription de pratiquement tous les secteurs politiques dont la Platefo...

célébration de fête patonale de St Joseph à Fort-liberté dans le départe...

Fin du processus d'inscription des partis politiques au CEP

Fin du processus d'inscription des partis politiques au CEP 

Le processus d'inscription des partis politiques au Conseil Electoral Provisoire (CEP) a pris fin ce vendredi comme prévu.

Plus d'une centaine de partis politiques ont rempli les formalités administratives durant 5 jours. Il s'agit notamment des partis de l'ancienne opposition radicale qui avaient boudé les précédents processus d'inscription.

Parmi ces formations politiques on peut citer, la plateforme pitit Dessalines de l'ancien sénateur Moise Jean Charles et le Mouvement patriotique de l'opposition démocratique (MOPOD).

Certaines formations politiques membres de la coalition gouvernementale dont Inité et Ansanm Nou Fò (ANF) seront présentes lors des prochaines joutes. Joses Ulysse, secrétaire général de ANF également conseiller du Premier Ministre annonce que son parti envisage de décrocher plusieurs sièges aux législatives.

Le parti présidentiel est également en piste. La Vice-présidente du Parti Haïtien Têt Kalé (PHTK), Yanick Mézile, soutient qu'en cas de victoire le parti maintiendra les grandes priorités de l'administration Martelly. " Nous allons continuer avec la vision du président Michel Martelly : l'éducation pour tous les enfants, combattre la pauvreté et œuvrer à l'amélioration des conditions de vie des Haïtiens.

Au sein de l'opposition radicale Fanmi Lavalas revient officiellement dans la course électorale. La coordonatrice de Fanmi Lavalas annonce le retour de son parti au pouvoir. 4 ans après le retour de l'ex président Aristide nous sommes là pour inscrire l'organisation politique Fanmi Lavalas en vue de prendre part à des élections libres, honnêtes, démocratiques et inclusives, a dit Mme Narcisse, candidate à la présidence de ce parti.

D'autres partis de l'opposition modérée seront également présents lors des prochaines joutes. Des ex sénateurs ont rempli les formalités pour obtenir un nouveau mandat. Rodolphe Joazile est le dirigeant du parti Konsyans patriyotik, William Jeanty chef de file de Kontra Pèp la, Evallière Beauplan est l'un des dirigeants du parti Pou Nou Tout (PONT) et Wesner Polycarpe est le dirigeant du Mouvement Révolutionnaire Ayisyen.

EJ/Radio Métropole Haïti

An Interview with Mildred Aristide » CounterPunch: Tells the Facts, Names the Names

An Interview with Mildred Aristide » CounterPunch: Tells the Facts, Names the Names

Friday, March 20, 2015

Vizit Prezidan repiblik la sou zile Ilavach

Remise de 21 véhicules aux TPTC par le représentant en Haïti de l’UE, Ja...

Grave accident à Delmas 60 quand un camion-citerne a dévalé une pente et...

Une juge au cœur d'un scandale de Corruption

Une juge au cœur d'un scandale de Corruption 

L'ex-présidente de la Cour supérieure des comptes et du contentieux administratif (CSC/CA), Nonie H. Mathieu, serait impliquée jusqu'au cou dans une vaste opération de détournement de plus de 37 millions de gourdes des fonds publics, a révélé le RNDDH dans un rapport rendu public ce mercredi.

Ce pactole de 37 millions 500 mille gourdes, selon le RNDDH, aurait été détourné par la juge en complicité avec la direction administrative de la cour, la Direction du Contrôle Financier du Ministère de l'Economie et des Finances, le Secrétariat de la Présidence de la Cour et des entreprises dont « America Supplies Distribution » et « Professional Services and Decor ».

L'argent est censé avoir été utilisé pour l'achat d'une longue liste de matériels de bureaux et d'équipements qui malheureusement n'ont jamais été livrés à la cour des comptes, selon l'inventaire fait par la nouvelle administration de cette institution.

Selon le rapport du RNDDH, Nonie H. Mathieu aurait fait l'acquisition de matériels pour ce montant dans deux magasins : America Supplies Distribution (ASD) représentée par Marie Yolène MERTYL et Professional Services and Decor représentée par la dame Ruth F. HYPPOLITE.

Les deux entreprises ont servi de paravent pour faciliter cet acte de corruption, soutient le RNDDH, car les fiches communiquées au ministère de l'économie et des finances pour le décaissement de ces fonds sont totalement fausses, observe le RNDDH qui croit que ces deux entreprises auraient été créées de toute pièce pour le besoin de la cause.

Aucune trace de l'America Supplies Distribution (ASD) qui serait logée à la Rue Capois # 94, Port-au-Prince. L'espace qui semblerait être le numéro 94, accueille un garage et un petit restaurant, a révélé le RNDDH. En revanche, si Professional Services and Decor, l'autre entreprise, est bien présente au 462, Delmas 58 au moment de la visite du RNDDH, aucun employé, pas plus que le propriétaire n'étaient présents. Quelques personnes rencontrées sur les lieux ont affirmé qu'il s'agit d'une entreprise spécialisée dans la décoration et l'agencement des fleurs, a souligné le rapport

De tout ce qui précède, il ressort que Me Nonie H. MATHIEU, ex-présidente de la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSC/CA) est responsable d'un cas de corruption avérée portant sur le détournement d'un montant de trente-sept millions cent mille (37.500.000) gourdes, a déduit le RNDDH.

Face à l'évidence des faits reprochés à Me Nonie H. MATHIEU, le RNDDH exige sa démission de son poste de conseillère à la CSC/CA ; sa mise en examen ainsi que ses complices notamment les responsables des entreprises America Supplies Distribution (ASD) représentée par Marie Yolène MERTYL et Professional Services and Decor représentée par Ruth F. HYPPOLITE.

Notons que les membres de la Cour des Comptes sont passibles de la Haute cour de justice. Une destitution éventuelle de la conseillère parait difficile voire impossible dans l'état actuel du sénat qui est dysfonctionnel avec seulement 10 sénateurs (+1) sur 30.

MJ/Radio Métropole Haïti

Un processus d'inscription réussi pour le CEP

Un processus d'inscription réussi pour le CEP 

Le processus d'inscription des partis politiques au Conseil Electoral Provisoire (CEP) devrait être bouclé ce vendredi.

Une vingtaine de partis politiques auraient rempli les formalités administratives hier. Il s'agit notamment des partis de l'ancienne opposition radicale qui avaient boudé les précédents processus d'inscription.

Certaines formations politiques membres de la coalition gouvernementale dont Inité et Ansanm Nou Fò (ANF) seront présentes lors des prochaines joutes. Joses Ulysse, secrétaire général de ANF également conseiller du Premier Ministre annonce que son parti envisage de décrocher plusieurs sièges aux législatives.

Le parti présidentiel est également en piste. La Vice-présidente du Parti Haïtien Têt Kalé (PHTK), Yanick Mézile, soutient qu'en cas de victoire le parti maintiendra les grandes priorités de l'administration Martelly. " Nous allons continuer avec la vision du président Michel Martelly : l'éducation pour tous les enfants, combattre la pauvreté et œuvrer à l'amélioration des conditions de vie des Haïtiens.

Au sein de l'opposition radicale Fanmi Lavalas revient officiellement dans la course électorale. La coordonatrice de Fanmi Lavalas annonce le retour de son parti au pouvoir. 4 ans après le retour de l'ex président Aristide nous sommes là pour inscrire l'organisation politique Fanmi Lavalas en vue de prendre part à des élections libres, honnêtes, démocratiques et inclusives, a dit Mme Narcisse, candidate à la présidence de ce parti.

D'autres partis de l'opposition modérée seront également présents lors des prochaines joutes. Des ex sénateurs ont rempli les formalités pour obtenir un nouveau mandat. Rodolphe Joazile est le dirigeant du parti Konsyans patriyotik, William Jeanty chef de file de Kontra Pèp la, Evallière Beauplan est l'un des dirigeants du parti Pou Nou Tout (PONT) et Wesner Polycarpe est le dirigeant du Mouvement Révolutionnaire Ayisyen.

LLM / radio Métropole Haïti

L'école EFACAP DE MARIGOT

Jeudi 19 mars 2015. Lors d'une visite à Jacmel dans le Sud'Est du pays, le Directeur Général du FAES, M. Léon Ronsard St Cyr s'est rendu à Marigot sur le site de l'école EFACAP DE MARIGOT. Ce projet dont le FAES a été le maître d'ouvrage délégué, a été financé par la Coopération Espagnole (AECID). L'école est dotée de plusieurs batiments dont une infirmerie et un laboratoire informatique.
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