Sunday, May 31, 2015

Rendezvous economique

Listen to Émission Rendez-vous Économique 22/3/2015 (invités Hérold Jn FRANCOIS & Robinson ALPHONSE) by Croissance #np on #SoundCloud http://soundcloud.com/croissance-groupcroissance/emission-rendez-vous-economique-2232015-invites-herold-jn-francois-robinson-alphonse

Wednesday, May 27, 2015

METRONEWS MARDI 26 MAI 2015.metropolehaiti.com

L'histoire d'Haïti : Simple faits

La guerre des Cerf volants 2

Lamothe conteste un rapport défavorable de la Cour des Comptes

Lamothe conteste un rapport défavorable de la Cour des Comptes 

L'ex Premier Ministre haïtien, Laurent Lamothe, a rejeté hier, le rapport de la Cour Supérieure des Comptes et du Contentieux Administratif (CSCCA) faisant état d'irrégularités dans sa gestion à la tête du ministère de la planification.

Les auditeurs de la CSCCA ont relevé des irrégularités pour plus de 4 milliards de gourdes dans la gestion des fonds alloués au Ministère de la Planification. Ce montant correspondant aux ressources publiques mobilisées par le gouvernement après le passage du cyclone Sandy.

Il y a des erreurs flagrantes et légères dans ce rapport, martèle M. Lamothe.

Lors de point de presse l'ex Premier Ministre a présenté des informations sur l'utilisation de ces ressources. Cependant le ministère de la planification n'a pu fournir les dossiers nécessaires aux auditeurs de la CSCCA sur les fonds d'urgence décaissé après le passage du cyclone Sandy.

M. Lamothe juge qu'il s'agit d'un complot visant à le détruire politiquement. Pour lui le rapport négatif de la Cour des Comptes s'inscrit dans le cadre d'une campagne visant à empêcher sa candidature à la Présidence.

Il révèle qu'une correspondance du ministère de la planification pour noter l'absence de certainsdossiers a été communiquée quelques jours avant l'annonce de sa candidature.

L'ex Premier Ministre annonce qu'il contestera le rapport par devant le Sénat. Estimant être l'objet de persécutions politiques M. Lamothe assure avoir réalisé durant les 31 mois de son gouvernement une gestion saine des ressources publiques. Il révèle qu'a son départ 275 millions de gourdes étaient disponibles dans le Trésor Public.

LLM / radio Métropole Haïti

Le double corps de Martine Fidèle

Des personnalités peu connues candidats à la présidence


Des personnalités peu connues candidats à la présidence 

Des personnalités peu connues du grand public ont rempli les formalités en vue de participer à la présidentielle. Venus d'horizons divers ces citoyens jugent importante leur candidature.

Alexandre Jean Bony, est le fils de l'ex président Boniface Alexandre ( 2004-2006). Il est candidat sous la plateforme Concorde Nationale.

Jean Bertin est le veuf de l'avocate et dirigeante politique Mireille Durocher Bertin, qui a été assassinée. Le père de Sarodj, ex miss Haïti, est candidat du Mouvement D'Union Républicaine.

Kesler Dalmacy, est un médecin haïtien à New York. Il brigue pour la seconde fois la présidence.

Varnel Joseph G. Durandisse, avait été l'un des dirigeants de Repons Peyizan, qui en 2010 avait offert le label du parti à Michel Martelly. Il se présente sous la bannière du parti Retabli Ayiti.

Antoine Joseph, est un ex parlementaire. Il est médecin et membre du parti présidentiel Parti Haïti Tet Kalé.

Maxo Joseph est un jeune pasteur protestant qui a réalisé des activités sociales dans plusieurs quartiers populeux dont Grand Ravine. Il est candidat du parti Rassemblement Des Nationaux Démocrates Volontaires Pour L'Unité Salvatrice.

Paul Gustave Magloire est un ancien journaliste de la Voix de l'Amérique. Il avait été ministre de l'intérieur durant la transition de 2004 à 2006 sous le gouvernement de Gérard Latortue.

Jean Poincy est un ancien du rectorat de l'Université d'état d'Haïti. Il est candidat du parti Régénération Économique Et Sociale Dans L'Unité Et La Liberté Totale D'Action Pour Tous.

Georges Emmanuel Jacques Werleigh, est l'époux de l'ex Première Ministre Claudette Werleigh. Il est candidat du Mouvement National Pour La Prospérité D'Haïti.

LLM / radio Métropole Haïti

Haïti - Social : Don de 50 millions pour un meilleur accès à l’eau potable

Haïti - Social : Don de 50 millions pour un meilleur accès à l’eau potable
27/05/2015 14:02:40

Haïti - Social : Don de 50 millions pour un meilleur accès à l’eau potable
Grâce à un don de l’Association internationale de développement (IDA) d’un montant de 50 millions de dollars approuvé aujourd’hui par le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale, ce sont environ 300 000 Haïtiens exposés au choléra qui bénéficieront d’un meilleur accès à l’eau salubre et à l’assainissement.

Ce don vient financer le Projet d’approvisionnement en eau et d’assainissement durable des zones rurales et des petites villes, qui vise à sauver des vies en prévenant la propagation du choléra et des autres maladies d’origine hydrique dans les zones où leur prévalence est élevée ; il s’agit notamment de renforcer la capacité des autorités locales à dispenser des services d’eau et d’assainissement en milieu rural et dans les petites villes.

Haïti est parvenu à endiguer le choléra depuis la flambée épidémique de 2010 : le nombre moyen d’infections a chuté de plus de 30 000 cas par mois en 2011 à environ 2 200 par mois en 2014. Mais, récemment, les pluies torrentielles du premier trimestre de 2015 ont fait remonter la moyenne à 3 400 cas par mois. Même si le nombre de décès attribuables au choléra et aux autres maladies transmises par l’eau a diminué l’an dernier et qu’il reste inférieur à 1 %, ces pathologies restent l’une des premières causes de mortalité infantile dans le pays, où le choléra menace toujours de regagner du terrain.

« En Haïti, on dit souvent que ‘l’eau, c’est la vie’. Avec ce projet, nous avons la possibilité de concrétiser cette affirmation dans la réalité de centaines de milliers d’Haïtiens, déclare Benito Dumay, directeur général de la Direction nationale de l'eau potable et de l'assainissement (DINEPA). Ce projet appuie notre plan décennal national d’élimination du choléra et vise à empêcher que des milliers d’autres enfants haïtiens ne meurent des suites d’une maladie d’origine hydrique. »

Le don annoncé aujourd’hui s’inscrit dans une initiative globale de la Banque mondiale qui fait suite à l’intervention d‘urgence menée en 2010, dès le déclenchement de l’épidémie. Cette initiative a touché plus de 3 millions d’Haïtiens par l’intermédiaire de campagnes d’éducation sur la prévention, de programmes de formation destinés aux travailleurs de la santé locaux et au personnel médical, et de traitements. Elle complète aussi les efforts de prévention et de traitement du choléra entrepris actuellement dans le cadre d’un projet desurveillance épidémiologique et de traitement, d’un montant de 20 millions de dollars. La Banque continue de mobiliser les pays donateurs et d’autres partenaires afin qu’ils s’associent pour améliorer de manière substantielle l’approvisionnement en eau et l’assainissement en Haïti, et pour y renforcer les services de santé.

Selon Mary Barton-Dock, envoyée spéciale de la Banque mondiale, « malgré les grands progrès réalisés dans la lutte contre le choléra en Haïti, trop de gens contractent encore la maladie, surtout parce qu’ils n’ont pas accès à de l’eau salubre et des systèmes sanitaires. La situation est encore plus grave dans les régions rurales, où moins d’une personne sur deux a accès à l’eau potable et 16 % seulement à des installations sanitaires améliorées. En élargissant l’accès à des services d’eau et d’assainissement dans les régions visées, on sauve des vies, sans compter qu’on contribue à réduire la pauvreté et à développer les moyens de subsistance ».

Le nouveau projet vise en priorité les communes où l’on observe une forte incidence du choléra pendant la saison sèche. Il renforce et complète les activités menées par d’autres partenaires locaux et internationaux dans le pays. Il aura une incidence sur toute l’île d’Hispaniola et le long de la frontière avec la République dominicaine, notamment au niveau de l’activité des marchés binationaux.

Les résultats visés sont, entre autres, les suivants :

  • 150 000 personnes auront accès à une source d’eau améliorée grâce au raccordement de leur domicile à l’eau courante ou grâce à l’aménagement de bornes-fontaines ;
  • 50 000 personnes auront accès à une meilleure situation sanitaire grâce à des campagnes locales d’assainissement, à la promotion de l’hygiène et à l’aménagement de latrines dans les écoles, les cliniques, les marchés et d’autres lieux publics ;
  • 100 000 personnes profiteront de la réparation ou du prolongement de systèmes existants ;
  • le projet comprend la mise au point d’une feuille de route pour l’accès universel à l’eau et à l’assainissement d’ici 2030 ; 
  • il prévoit aussi l’élaboration d’un système régional de surveillance des pandémies avec l’appui de la République dominicaine.

D’une durée de six ans, le projet sera exécuté par la DINEPA, sous la direction du ministère des Travauxpublics, des Transports et des Communications (MTPTC). La Banque mondiale collabore étroitement avec d’autres partenaires du développement : la Banque interaméricaine de développement (BID), l’Espagne, l’Organisation panaméricaine de la santé/Organisation mondiale de la santé (OPS/OMS), le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) et le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies ( Center for Disease Control and Prevention, CDC). 

L’action du Groupe de la Banque mondiale face au choléra :

L’Association internationale de développement (IDA) finance des activités de lutte au choléra depuis le début de l’épidémie, à la fin de 2010. Elle a versé 15 millions de dollars au titre d’un projet d’aide d’urgence qui a pris fin en mars 2014. Dans le cadre de ce projet, plus de 3 millions de personnes ont profité de campagnes d’éducation sur la prévention, de formation et de traitements. Le volet formation a touché plus de 5 400 travailleurs de la santé locaux et membres du personnel médical.

En plus du don de 50 millions de dollars annoncé aujourd’hui, la Banque mondiale a mis 20 millions de dollars à la disposition du ministère de la Santé pour la prévention et le traitement du choléra dans le cadre d’un nouveau projet (d’un montant total de 90 millions de dollars) axé sur la surveillance épidémiologique, les traitements (notamment grâce à des équipes mobiles d’intervention rapide), la promotion de l’hygiène et de la santé, ainsi que sur des activités liées à l'approvisionnement en eau et à l’assainissement.

La Société financière internationale (IFC) appuie de son côté « dlo Haiti », un réseau de points de service où l’on purifie l’eau pour la distribuer aux collectivités voisines à un prix abordable.

HL/ HaïtiLibre 

Tuesday, May 26, 2015

ANALYSE du 24 Mai 2015

Le FMI approuve un accord de 69,7 millions de dollars

Le FMI approuve un accord de 69,7 millions de dollars 

Le Conseil d'administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé le lundi 18 mai 2015 en faveur d'Haïti un accord triennal d'un montant de 69 millions de dollars au titre de la facilité élargie de crédit (FEC). L'approbation ouvre la voie au décaissement immédiat de 10 millions de dollars.

Le programme des autorités haïtiennes soutenu par la FEC vise à rehausser le potentiel de croissance d'Haïti et à réduire la vulnérabilité de l'économie aux chocs, tout en consolidant la stabilité macroéconomique, précise un communiqué du FMI.

Le Directeur général adjoint et Président du Conseil par intérim, Min Zhu, a insisté sur la nécessité de poursuivre les efforts afin de permettre une croissance soutenue et solidaire, renforcer les institutions et le cadre des politiques publiques, et maintenir des marges de manœuvre suffisantes pour amortir les chocs. " Le nouveau programme triennal soutenu par la facilité élargie de crédit (FEC) du FMI a pour but de consolider la stabilité macroéconomique, d'améliorer la compétitivité pour rendre possible une croissance solidaire et préserver les marges de manœuvre, en s'appuyant sur des politiques publiques rationalisées pleinement assumées par le pays", ont indiqué les responsables du FMI.

Selon le FMI le programme vise à ramener le déficit du secteur public non financier de 7,5 % du PIB à 2,5 % à moyen terme pour préserver la viabilité des finances publiques.

Par ailleurs le programme de réformes structurelles prévu est axé sur le renforcement de la compétitivité afin de promouvoir la croissance économique.

LLM / radio Métropole Haïti

Wednesday, May 20, 2015

Présidentielles 2015: M. Mario Andrésol se porte candidat et s'inscrit a...

Présidentielles 2015: Dr Maryse Narcisse accompagnée de Mildred Trouillo...

Présidentielles 2015: M. Clarens Renois s'est inscrit au CEP ce 19 mai 2015

Présidentielles 2015: Me André Michel s'est inscrit au CEP ce 19 mai 2015

Présidentielles 2015: M. Chavannes Jean-Baptiste s'est inscrit au CEP ce...

Présidentielles 2015: Me Samuel Madistin s'est inscrit au CEP ce 19 mai ...

Présidentielles 2015: M. Jude Célestin s'est inscrit au CEP ce 19 mai 2015

MEXICO: FOIRE DES CULTURES AMIES : LE CAFÉ HAITIEN DANS LES TASSES MEXICAINES



MEXICO: FOIRE DES CULTURES AMIES : LE CAFÉ HAITIEN DANS LES TASSES MEXICAINES


imageAffluence devant le Stand d'Haiti

À la foire des cultures amies, cetteannée, l’odeur du café Rebo embaume le stand d’Haïti et les nombreux visiteurs font la queue afin de déguster le précieux liquide.

Il s’agit d’une importante innovation pour Haïti qui participerégulièrement à cet événement annuel se déroulant au centre historique de Mexico, au Zocalo métropolitain.  Grâce à l’aide des représentants de Rebo, le café est en dégustation tous les jours à la foire, du 14 au 27 mai. 

C’est aussi pour la première fois que des artisans venus du pays exposent leurs produits au stand d’Haïti occupé  les années précédentes,  par des exposants, membres de la communauté haïtienne au Mexique sous la coordination de l’ambassade d’Haïti à Mexico.

Haïti participe à la foire avec, en plus du stand, une exposition de peinture. Quelques  30 tableaux de peintres de rue sont exposés sous le thème "pinturas de callejon" (peinture de rue) à la Casa de la Primera imprenta de America,  située au centre historique.  L’exposition est réalisée par l’ambassade en collaboration avec le collectionneur haïtien Kelly Rely vivant au Mexique.

Haïti : une agriculture en jachère

Haïti : une agriculture en jachère

Mise à jour le mardi 19 mai 2015 à 16 h 48 HAE
Depuis le tremblement de terre de 2010, on a beaucoup parlé de la reconstruction en Haïti, mais peu de la relance de son agriculture. Avec 10 millions d'habitants à nourrir, Haïti ne devrait-il pas miser davantage sur son agriculture locale? 
Alors que la moitié de sa population active vit de la terre, le pays importe aujourd'hui 45 % de ses denrées alimentaires, notamment du riz américain, qui coûte beaucoup moins cher.

Le travail est dur pour les agriculteurs haïtiens. Il se fait habituellement sans machinerie. Plusieurs terres ne sont pas irriguées. Trop de pluies ou pas assez, on peut tout perdre.

Les agriculteurs haïtiens souffrent aussi d'une concurrence déloyale. Le riz américain, produit à grande échelle, est fortement subventionné. Les taux d'importation sont très bas. On le retrouve partout dans les marchés et il se vend de 30 à 50 % moins cher que le riz haïtien.

Les banques haïtiennes n'ont pas l'habitude de prêter aux agriculteurs. Mais depuis quatre ans, Développement International Desjardins, en collaboration avec le gouvernement canadien, s'est associé à des institutions financières locales pour leur apprendre à faire du microcrédit agricole. Cela permet notamment à certains agriculteurs d'acheter de la machinerie.
  • Depuis août 2012, 32 points de service ont été ouverts en Haïti;
  • 16 000 producteurs ont reçu du microcrédit dans les régions de l'Artibonite et de Port-au-Prince;
  • Un total de plus de 20 millions de dollars en prêts.

Les taux d'intérêt sont élevés dans les banques haïtiennes : de 2 à 3,5 % par mois. C'est tout de même mieux que les taux des prêteurs usuraires, qui peuvent exiger que les agriculteurs remboursent le double du prêt en un mois.

Un autre problème des agriculteurs : le transport des marchandises. Dans la vallée de l'Artibonite, où l'on produit 80 % du riz haïtien, les rivières coupent les routes à plusieurs endroits. Il arrive donc que les récoltes pourrissent sur place.

Des femmes ont créé un atelier de transformation de fruits. Elles travaillent de concert avec les paysans pour transformer leurs récoltes en sirop, en confiture, ou même en alcool. Avec l'aide d'Oxfam-Québec, elles veulent maintenant prendre de l'expansion et vendre leurs produits à l'extérieur de leur région.

À l'atelier, les femmes gagnent 125 gourdes par jour, l'équivalent de 3,30 $US. Mais pour Monique Charles, qui est veuve, cela vaut la peine de marcher trois heures pour se rendre à l'atelier et revenir chez elle à la tombée de la nuit.

Lors du tremblement de terre de 2010, plusieurs résidents de Port-au-Prince sont retournés vivre dans leur famille, en région. Selon Charles Suffrard, qui dirige une association paysanne, le gouvernement haïtien aurait dû en profiter pour offrir de meilleurs services en région et y retenir la population.

Boxe, conférence de presse à Royal Oasis

Boxe, conférence de presse à Royal Oasis

A 48 heures de la soirée baptisée : « Retour des Guerriers »,evenspierre2 dans laquelle Evens Pierre et Azéa Augustama remettront leurcouronne en jeu, la boxe internationale dirigée parJacques Deschamps Fils donnera une conférence de presse ce mercredi 20 mai à l’Hôtel Royal Oasis (Pétiton-Ville) afin d’informer la presse sur les derniers détails de la soirée tant attendue par les amateurs du « Notre Art ».
Parallèlement, l’enfant terrible de Cité Soleil, Evens Pierre (8e mondial au niveau des poids légers) est en quête de disputer un championnat du monde. Pour y arriver, il doit impérativement battre le mexicain Jesus Cruz Bibiano, un adversaire coriace. Les deux, Evens et Bibiano sont attendus à Port-au-Prince cet après midi.  
Pour sa part, Azéa, qui aura affaire à un dominicain, Eduardo Mercedes, doit fouler le sol déssalinien ce matin.  

Trois matches pour Haïti avant la Gold Cup

Avant d’entamer sa sixième (6e) participation ayiti bayoà la Gold Cup (7 au 26 juillet) dans le groupe A où ils doivent affronter respectivement, le finaliste et le champion de la dernière édition, le Panama (7 juillet), les USA (10 juillet) et, ainsi que le Honduras (13 juillet), les Grenadiers, selon le président de la FHF, Dr Yves Jean-Bart, disputeront deux tests matches en juin et un autre au début du mois de juillet.
Les préparatifs vont bon train pour la Gold Cup. En effet, après s’être mis d’accord avec l’attaquant du Stade Malherbe Caen, Hervé Bazile et le défenseur central de l’OGC Nice, Romain Genevois, blessé à la jambe droite contre Saint-Etienne en Ligue 1 et out selon toute vraisemblance pour la plus prestigieuse compétition au niveau des nations de la zone, les autorités du bureau fédéral est en train de mettre les bouchées doubles afin de peaufiner la dernière ligne droite de la préparation des Grenadiers.
Entre-autre stages de perfectionnement, Haïti se prépare à disputer trois tests matches : « Le 4 juin, Haïti et la Dominicanie disputeront en territoirevoisin, un match hautement significatif en tenant compte de la situation socio-politique des deux pays. Autre match en vue pour les Grenadiers, le 30 juin à Iles Caïmans contre la sélection locale. A ce sujet, moi et Jeffrey Webb, président de la Concacaf, natif de ce pays-là, étions mis d’accord sur la planification de ce match amical qui servira de répétitions générales pour l’équipe nationale. Notre dernier test match avant la Gold Cup est programmé pour le 3 juillet. En face, nous avons le choix entre deux adversaires : la Jamaïque et le Trinidad & Tobago. Si on doit affronter le premier, le match devrait se jouer à Bahamas. Cependant, rien n’est encore clair. Contre l’équipe de Trinidad, on est sur la bonne voie. Toutefois, les deux pays (Haïti et Trinidad) se trouvent dans l’obligation de payer la Fédé des USA et de louer un stade pour faire jouer le match à Miami. Dans ce cas de figure, on essai de multiplier nos contacts, idem pour les autorités fédérales de Trinidad », a expliqué Yves Jean-Bart.  
Pour répéter le patron de la FHF, le sélectionneur national, Marc Collat établira, au début du mois de juin, un camp d’entraînement au « Centre FIFA Goal » qui prendra fin le 22 du même mois avant de s’envoler pour Dallas le 26 juin. Une fois arrivée, les Grenadiers seront soumis à stage de mis à niveau.
Parallèlement, Yves Jean-Bart a annoncé la venue en Haïti de deux autres techniciens français pour renforcer le staff technique. «  Il s’agit de préparateur physique et d’un entraîneur des gardiens. Ils vont en profiter pour travailler avec les autres sélections fermées au centre de la Croix-des-Bouquets », a-t-il précisé.
Il est à signaler qu’Haïti disputera sa sixième Gold Cup, et ce, après s’être présentée dans la plus prestigieuse compétition au niveau des équipes nationales en 2000, 2002, 2007, 2009 et 2013. Le 7 juillet 2015, les Grenadiers débuteront la 13e édition contre le pays ayant joué la dernière finale, le Panama avant d’affronter le pays hôte et champion en titre, les USA et le Honduras. 

Fondation pour la Protection de la Biodiversite Marine (FoProBiM)

In a country plagued by extreme poverty and political instability, Jean Wiener led community efforts to establish the nation’s first Marine Protected Areas by empowering Haitians to see the long-term value in sustainably managing fisheries and mangrove forests.
Haiti is home to an incredibly diverse array of marine life, housed in mangrove forests and coastal reefs. It is also the poorest country in the Western Hemisphere, with 80 percent of the population living in poverty. Natural disasters and political instability have further hampered the nation’s ability to create meaningful economic opportunities for its citizens.
Driven by extreme poverty, many Haitians have resorted to overfishing. Fish stocks have been further decimated as locals cut down mangrove trees—key habitat for young fish—to illegally make and sell charcoal. Others have turned to harvesting coral reefs, which also provide protection and shelter for fish, for construction material such as rocks and lime.
The deforestation of coastal mangroves brings more cause for alarm: The trees are known to sequester carbon at a rate five times greater than tropical rainforests and protect coastlines from storm surges, making their destruction a further threat to the future of an island nation already vulnerable to climate change.
Growing up in Haiti, Jean Wiener relished family trips to the beach, which would typically end with his parents struggling to pull him away from the water when it was time to go home. To the young boy, swimming in the Haitian coast felt like swimming in an aquarium, with beautiful coral reefs and vibrant colors.
He returned to Haiti in 1989 and began working in the science department at a local school. While Wiener had seen signs of the damaged marine wildlife during his visits home, he now fully realized the serious extent of the toll the ecosystem had taken from unchecked exploitation. He frequently heard stories from local fishermen of how much harder it was to find fish. “We used to be able to fish for a half day and feed our family for two weeks,” they said. “Now we fish for two weeks and feed our family for a half day.”
Determined to restore the marine wildlife of his childhood and bring sustainable economic opportunities for the people of Haiti, Wiener started the Foundation for the Protection of Marine Biodiversity (FoProBiM) in 1992.

Haiti-Élections 2015: Liste des candidats déjà inscrits au CEP.

Haiti-Élections 2015: Liste des candidats déjà inscrits au CEP.

cep logo 2015
1-Marise Narcisse Fanmi Lavalas
2-Steven Irvenson Benoit de la plateforme Conviction
3-Bretours Joseph Harry Konbit pou Ayiti
4-Jean Claude Rénold Bazin Mouvement chrétien pour unenouvelle Haiti (MOCHRENHA)
5-Edner Louis Gonzgue Day Platfòm Ayisyen kap Travay pou Rekonstwi Ayiti Inifyel ak Liberel (PATRAYIL) »
6- Wesner Polycarpe Mouvement Révolutionnaire Haitien
7-Gérard Dalvius, du Parti Alternative pour le Développement d’Haiti
8-Joseph Maxeau, Parti Rassemblement des Nationaux démocrates volontaires pour l’Unité salvatrice.
9-Kesler Dalmacy MOPANOU
10-Jacques Sampeur Konbit Liberayon Ekonomi (KLE)
11-Vilaire Cluny Duroseau de MEKSEPA
12- Jacky Lumarque Plateforme VERITE
13-Samuel Madistin Mouvement democratique populaire dessalinien (MOPOD)
14- Sauveur Pierre Etienne de l’Organisation du Peuple en Lutte (OPL)
15- Jude Celestin Ligue Alternative pour le Progrès et l’Emancipation Haitienne (LAPEH)
16-Clarens Renois UNIR
17-André Michel Plateforme Jistis
18- Chavannes Jean Baptiste Kontra Pèp La
19-Chavannes Jeunes Plateforme CANAAN
20-Georges Brunet ANTRENOU
21- Thierry Mayard Paul Union Nationale des Democrates Haitiens (UNDH)
22-René Julien Action Democratique pour Batir Haiti (ADEBAH)
23- Mario Andrésol Indépendant
24-Amos André Front Uni pour la Rennaissaance d’Haiti (FURH)

Haïti : quelles réparations financières ?

Haïti : quelles réparations financières ?

LE MONDE ECONOMIE |  • Mis à jour le  |Par 
Abonnez-vous
à partir de 1 €
 Réagir Classer
Partager   google + linkedin pinterest
En 2003, le gouvernement de Jean-Bertrand Aristide, président de Haïti, avait réclamé 17 milliards de dollars de compensation (photo : François Hollande avec le président haïtien, Michel Martelly à Port-au-Prince lors de la cérémonie d'accueil du président français, le 12 mai).
Lors de la visite de Nicolas Sarkozy qui a suivi le tremblement de terre de 2010, l’historien haïtien Jean Saint-Vil exigeait le remboursement par la France de 40 milliards de dollars (27,8 milliards d’euros en 2010), correspondant, selon lui, à la valeur actuelle de l’indemnité de 150 millions de francs obtenue de Haïti sous la menace, par la France de Charles X en 1825, comme compensation des pertes subies par les colons, après l’indépendance de l’île en 1804. En 2003, le gouvernement de Jean-Bertrand Aristide, président de Haïti, avait réclamé 17 milliards de dollars de compensation.
Nous laisserons, ici, de côté la question – essentielle – du sens qu’auraient des réparations financières des crimes de l’esclavage d’un point de vue philosophique ou juridique, pour examiner cette demande financière, et notamment son montant.

L’utilisation de l’indemnisation

Dans le calcul de 1825, seul le tiers de l’indemnité correspondait à la valeur des esclaves, de sorte que la réduction de l’indemnité à 90 millions par Louis-Philippe en 1838 en faisait le prix de la seule expropriation du capital foncier et immobilier des colons. C’est, donc, dans une certaine mesure, une compensation au titre de la colonisation qui est aujourd’hui réclamée, plus que de l’esclavage stricto sensu, même si les deux sont difficiles à séparer. Mais comment calculer, aujourd’hui, le montant de cette compensation ?
Une approche purement financière serait d’actualiser le montant de l’indemnité versée alors par Haïti. Cette approche pourrait conduire, selon le taux d’intérêt utilisé, à des montants très variables. Contrairement à l’affirmation naïve des financiers, le rendement réel du capital sur une très longue période est faible, du fait des guerres ou autres événements qui détruisent le capital physique, et de l’inflation qui réduit la valeur des actifs financiers.
Si les colons avaient gardé le montant de l’indemnité en billets, ils ne vaudraient même plus 400 000 euros ; s’ils l’avaient transformé en or et l’avaient stocké, la valeur de ce stock serait de 570 millions d’euros en 2003, près de 2 milliards d’euros aujourd’hui ; placé dans les meilleures actions de la Bourse de Paris (l’équivalent du CAC 40), il vaudrait virtuellement près de 220 milliards euros, mais seulement 600 millions si les dividendes avaient été consommés ! Ce n’est donc pas la manière pertinente d’aborder cette question, car rien ne permet de dire ce que les colons ont fait de leur indemnisation.

Incapacité à réorienter la production

Une approche plus macroéconomique (qui substitue la France aux colons, pourtant seuls bénéficiaires de l’indemnité) consiste à considérer que ces montants ont rapporté à la France autant que son capital moyen, en contribuant à sa croissance. Dans ce cas, la compensation de cette indemnité, qui représentait moins de 0,25 % du patrimoine français en 1825, correspondrait à 0,25 % du capital national français actuel, soit environ 30 milliards d’euros. Mais cela suppose, comme le suggère Jean Saint-Vil, que Haïti aurait investi ces montants chez elle aussi efficacement que la France l’a fait, et aurait eu la même croissance que la France si elle n’avait pas été frappée par cette indemnité.
Mais on pourrait aussi considérer que la croissance de Haïti ayant été déterminée par ses propres choix économiques, politiques et sociaux, ces 150 millions de francs investis dans l’économie haïtienne n’y auraient pas changé grand-chose. On peut alors estimer qu’un stock de capital plus élevé d’environ un quart en 1825 aurait conduit à un capital (et donc à un revenu national) plus élevé aujourd’hui d’environ un quart, ce qui supposerait une compensation de l’ordre de 5 milliards d’euros. Dans cette hypothèse, ce ne sont pas les « réparations » payées par Haïti qui ont freiné son développement, mais l’incapacité à réorienter la production vers d’autres activités que les plantations.
Même si un consensus s’établissait sur la nécessité d’une compensation pour untransfert injuste, s’accorder sur l’estimation de cette compensation demanderait donc de se mettre d’accord sur l’histoire économique et sociale – et pas seulement sur l’histoire politique ou l’illégitimité de l’esclavage. Ce n’est, hélas, pas encore le cas.

FLASH : LA FOUILLE DU BATEAU ACRA CONTINUE AU PORT NATIONAL

FLASH : LA FOUILLE DU BATEAU ACRA CONTINUE AU PORT NATIONAL

May 14, 2015
By `
LA DEA ENQUETTE AUSSI CONCERNANT MME COUPET DE LA BUH QUI AURAIT ÉTÉ CONTRAINTE DE VENDRE SES ACTIONS .
Une longue liste d’arrestations à opérer
Des hommes d’affaires pour la plupart… Des politiciens aussi…
Plus d’un mois depuis qu’a commencé le déchargement/fouille du bateau transportant une cargaison de sucre et de cocaïne/héroïne pour le compte de la maison Acra, la Police nationale et les agents de la DEA continuent de passer le vaisseau au peigne fin, une fois qu’il a été vidé complètement de la marchandise qu’il avait à son bord.
L’opération de fouille continue au port national où a étéconduit le Manzanares.
Les personnes interrogées, dans le cadre de l’enquête en cours, ont permis d’identifier plus d’une douzaine d’hommes d’affaires ayant mis ensemble leurs ressources en vue d’introduire en Haïti la plus forte cargaison de stupéfiants enregistrée depuis que ce pays a été transformé en plaque tournante de la drogue, qui y transite en contrebande à destination les marchés lucratifs d’Amérique du nord (États-Unis et Canada) et d’Europe.
Des sources proches de la Police nationale et des agents fédéraux ont révélé qu’à la fin du débarquement de la cargaison de sucre, soit 665 tonnes, a été découvert un chargement important, soit environ 145 tonnes de cocaïne et d’héroïne qui allaient aboutir dans des entrepôts situés un peu partout dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince.
On laisse croire, d’autre part, qu’une quantité non déterminée de cocaïne a été trouvée dans plusieurs localités appartenant à des individus engagés dans l’import export aussi bien que des entrepreneurs qui possèdent des installations industrielles.
La fouille entre dans une nouvelle phase
Une fois le Mansanares conduit au port national, les policiers haïtiens et agents de la DEA ont entamé une nouvelle phase de la fouille. Contraire ment au déchargement, qui s’effectuait au Terminal Varreux, où les sacs de sucre étaient minutieusement examinés l’un après l’autre (ce qui a pris plus de trois semaines), au port national, c’est quasiment le démantèlement du navire qui se fait.
En effet, encore selon les agents fédéraux, qui ont l’occasion de mener ce genre d’opération sur une base régulière, ils savent que les transporteurs de drogue dissimulent la marchandise défendue dans tous les coins et recoins du bateau. C’est pourquoi au nouveau port où continue la fouille, tous les murs du Mansanares sont démantelés.
Bientôt des arrestations prévues
On affirme, dans les milieux proches des agents fédéraux, que si nombreuses sont les personnes identifiées comme faisant partie du vaste réseau responsable pour l’arrivée au Terminal Varreux du navire désormais appelé « Bateau Acra », qu’on se demande qui n’est pas impliqué dans cette affaire ?
Toutefois, les agents fédéraux prennent la précaution de ne pas éveiller de soupçons chez les membres du réseau, afin d’éviter toute tentative d’évasion. Mais aussi pour éviter tout éventuel dérapage.
Les enquêteurs fédéraux se déclarent préoccupés au plus haut point du manque d’intégrité constatée au sein de la Police nationale, dont certains membres, moyennant de fortes sommes d’argent, prêtent leur service aux importateurs de drogue en tant qu’informateurs C’est pourquoi, fait-on remarquer, lorsqu’une brigade de la DCPJ (Direction générale de la Police judiciaire) s’est dirigée vers une propriété aux fins de procéder à l’arrestation du patron, les policiers sont arrivés pour constater que l’intéressé était déjà en possession d’une copie du mandat d’amener qui avait été émise contre lui.
Les agents fédéraux se déclarent encore plus préoccupés par l’attitude du commandement de la Police nationale, qui agit comme s’il a des liaisons avec les importateurs de la marchandise défendue. Certains représentants de la DEA présents sur le terrain, dans le cadre de l’enquête sur les derniers bateaux arrivés en Haïti, sous prétexte d’apporter du sucre ou d’autres marchandises, alors que, en réalité, ces navires transportent de la cocaïne, de l’héroïne et de la marijuana dissimulés par mi les sacs de marchandises régulières, craignent qu’ils pourraient être pris pour cibles par les criminels à tout instant.
Les agents de la DEA expliquent aussi leur préoccupation par le fait que le directeur général de la PNH s’est retranché dans un silence mystérieux depuis qu’a éclaté le scandale des bateaux de sucre-cocaïne-héroïne qui ont accosté au Terminal Varreux. Ils pensent que Godson Orélus a reçu le mot d’ordre du silence d’une quelconque autorité qu’ils n’arrivent toujours pas à identifier. Selon eux, cela explique l’ambiguïté entretenue autour des opérations de déchargement/fouille du Mansanares par la Police nationale, dont le porte-parole déclarait ouverte une en quête afin de connaître l’identité de la compagnie qui avait commandé le sucre-cocaïne-héroïne, tout en insistant que le navire avait jeté l’ancre non au Terminal Varreux, mais à un port situé plus au nord, proche de celui appelé Jérémie.
<
Les agents fédéraux se plaignent de l’apathie affichée par la Direction générale de la PNH dans cette affaire et se déclarent confortés uniquement par le professionnalisme des policiers relevant de la Direction centrale de la Police judiciaire. Selon eux, ces derniers semblent agir indépendamment du commandement central.
De toute évidence, ceux qui s’obstinent à taire les noms des personnes impliquées dans l’affaire du Mansanares ne doivent pas ignorer que les policiers de la DCPJ sont à pied d’œuvre et ne se laissent point intimider ni soudoyer par les propriétaires des plus de 145 tonnes de stupéfiants confisquées, et qui constitueront
le corps du délit.
Cette vaste conspiration montée pour cacher la vérité sur l’affaire du Mansanares, les agents fédéraux pensent qu’ils ont suffisamment d’éléments de preuve pour que des procureurs fédéraux présentent un rapport en bonne et due forme qui permettra à des juges fédéraux d’ordonner l’inculpation des meneurs. Aussi se déclarent-ils confiants que des arrestations seront opérées dans un avenir pas très lointain.
Les agents de la DEA présents en Haïti ont affirmé que vu le nombre de personnes concernées dans l’affaire du Mansanares, il faudra plusieurs juges pour entendre ces cas.
Les représentants de la DEA ont laissé entendre que le plus gros scandale éclatera lorsque le peuple haïtien saura l’identité des importateurs et ce qu’ils représentent dans la société.
Car, ont-ils fait remarquer, parmi ces derniers se trouvent des banquiers, des industriels, des concessionnaires de voitures, des hommes politiques, des personnes engagées dans l’import-export, pour en citer que ceux-lâ.
LA DEA ENQUETTE AUSSI CONCERNANT MME COUPET DE LA BUH QUI AURAIT ÉTÉ CONTRAINTE DE VENDRE SES ACTIONS