Baker prône la formation d'une commission pour évaluer le scrutin
De nombreux acteurs politiques réclament l'annulation du premier tour des législatives. L'entrepreneur Charles Henry Baker, président du parti Respè, accuse les responsables du CEP et le gouvernement d'être les responsables de l'échec électoral.
Il recommande la formation d'une commission indépendante d'évaluation avant l'organisation d'un éventuel second tour. Toutefois M. Baker affirme que les candidats de son parti ont formulé des contestations auprès des tribunaux électoraux de première instance.
Par ailleurs, les dirigeants d'une dizaine de partis politiques dont Fusion des sociaux démocrates, Renmen Haïti, Ayisyen pou Ayiti et Reparen réclament l'annulation du scrutin et la démission du président du CEP. Ces dirigeants politiques recommandent l'organisation d'élections générales dans le meilleur délai.
Cependant les dirigeants de l'opposition divergent sur la stratégie devant être adaptée. Si certains acteurs sont favorables à une transition démocratique après la fin du mandat du président Martelly, d'autres redoutent cette perspective.
Le chef de file de Respè prévient que le refus des autorités gouvernementales et électorales de former une commission pour trouver une solution à la crise pourrait plonger le pays dans une crise. Il indique que des manifestations pourraient éclater à travers le pays pour réclamer outre la démission des conseillers électoraux mais également le départ du Premier Ministre et du chef de l'état.
M. Baker se dit opposé à une période de transition estimant que ceci empêcherait l'arrivée de nouveaux investisseurs étrangers.
LLM / radio Métropole Haïti
Il recommande la formation d'une commission indépendante d'évaluation avant l'organisation d'un éventuel second tour. Toutefois M. Baker affirme que les candidats de son parti ont formulé des contestations auprès des tribunaux électoraux de première instance.
Par ailleurs, les dirigeants d'une dizaine de partis politiques dont Fusion des sociaux démocrates, Renmen Haïti, Ayisyen pou Ayiti et Reparen réclament l'annulation du scrutin et la démission du président du CEP. Ces dirigeants politiques recommandent l'organisation d'élections générales dans le meilleur délai.
Cependant les dirigeants de l'opposition divergent sur la stratégie devant être adaptée. Si certains acteurs sont favorables à une transition démocratique après la fin du mandat du président Martelly, d'autres redoutent cette perspective.
Le chef de file de Respè prévient que le refus des autorités gouvernementales et électorales de former une commission pour trouver une solution à la crise pourrait plonger le pays dans une crise. Il indique que des manifestations pourraient éclater à travers le pays pour réclamer outre la démission des conseillers électoraux mais également le départ du Premier Ministre et du chef de l'état.
M. Baker se dit opposé à une période de transition estimant que ceci empêcherait l'arrivée de nouveaux investisseurs étrangers.
LLM / radio Métropole Haïti
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