L'ONU lance une réforme des opérations de maintien de la paix
Les membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont débattu la semaine écoulée le thème de la réforme du secteur de la sécurité. Les principaux objectifs de cette réforme sont la reconstitution des forces armées et des forces de sécurité intérieures ainsi que de la justice et de l'administration pénitentiaire.
En Haïti, la Mission des Nations Unies a enclenché le processus de retrait des casques bleus dans 6 régions. Lors du dernier scrutin, la sécurité des membres de la machine électorale avait été garantie par des policiers haïtiens.
La réforme de la sécurité ne peut être réalisée sans le consentement des pays hôtes, a souligné le Sous-secrétaire général pour l'état de droit et les institutions de sécurité.
Plusieurs diplomates se sont félicités de la proposition du Département des opérations de maintien de la paix de demander au pays hôte et à l'ONU de se mettre d'accord sur un « pacte » qui faciliterait ainsi la mise en œuvre de la réforme et l'allocation durable des ressources, en fonction du degré d'engagement national.
En Haïti, l'appui apporté à la Police nationale par la MINUSTAH a permis de certifier 1 221 officiers de police supplémentaires. Aujourd'hui, la Police nationale haïtienne, grâce à l'appui des Nations Unies et de donateurs, dispose de 14 000 officiers de police et de 200 officiers des services pénitentiaires.
Intervenant lors d'un réunion du Conseil de sécurité le représentant du Chili, Cristian Barros Melet, a demandé que les chefs de missions des opérations de paix, les commandants des forces, les représentants et les envoyés spéciaux des Nations Unies prêtent une attention accrue à la réforme du secteur de la sécurité dans les pays hôtes. Il a insisté sur leur rôle de coordination avec les autorités nationales. La réforme doit bénéficier de capacités institutionnelles existantes et tenir compte des réalités nationales.
Le représentant a souligné l'importance de la coopération Sud-Sud sur cette question et s'est enorgueilli que 60 officiers et sous-officiers haïtiens par an soient formés dans les académies militaires chiliennes.
LLM / radio Métropole Haïti
En Haïti, la Mission des Nations Unies a enclenché le processus de retrait des casques bleus dans 6 régions. Lors du dernier scrutin, la sécurité des membres de la machine électorale avait été garantie par des policiers haïtiens.
La réforme de la sécurité ne peut être réalisée sans le consentement des pays hôtes, a souligné le Sous-secrétaire général pour l'état de droit et les institutions de sécurité.
Plusieurs diplomates se sont félicités de la proposition du Département des opérations de maintien de la paix de demander au pays hôte et à l'ONU de se mettre d'accord sur un « pacte » qui faciliterait ainsi la mise en œuvre de la réforme et l'allocation durable des ressources, en fonction du degré d'engagement national.
En Haïti, l'appui apporté à la Police nationale par la MINUSTAH a permis de certifier 1 221 officiers de police supplémentaires. Aujourd'hui, la Police nationale haïtienne, grâce à l'appui des Nations Unies et de donateurs, dispose de 14 000 officiers de police et de 200 officiers des services pénitentiaires.
Intervenant lors d'un réunion du Conseil de sécurité le représentant du Chili, Cristian Barros Melet, a demandé que les chefs de missions des opérations de paix, les commandants des forces, les représentants et les envoyés spéciaux des Nations Unies prêtent une attention accrue à la réforme du secteur de la sécurité dans les pays hôtes. Il a insisté sur leur rôle de coordination avec les autorités nationales. La réforme doit bénéficier de capacités institutionnelles existantes et tenir compte des réalités nationales.
Le représentant a souligné l'importance de la coopération Sud-Sud sur cette question et s'est enorgueilli que 60 officiers et sous-officiers haïtiens par an soient formés dans les académies militaires chiliennes.
LLM / radio Métropole Haïti
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